Voici 100 châteaux du département de la Somme. Certains mériteraient une protection au titre des M.H. ou ne serait-ce que de bénéficier de soins et d'entretien avant que de sombrer dans la ruine...
Acheux-en-Amiènois : 18 & 20ès
L'ancien château du 18ès fut transformé et modernisé dans les années 1920, notamment dans la partie donnant sur la cour tandis que la façade sur le jardin, cantonnée de deux tours rondes, conserve son architecture en brique et pierre.
Agenvillers : 19ès
Sobre demeure construite dans la première moitié du 19ès. Près de l'entrée l'on peut voir un élégant petit pavillon du 17ès (aujourd'hui transformé en pigeonnier), vestige du château précédent.
Aigneville : 18ès
Petit corps de logis couvert d'un toit à la Mansart, agrandit de pavillons latéraux au 19ès.
Arrest : 16ès
Rare édifice du 16ès, malheureusement très restauré au 19ès mais qui conserve l'essentiel de ses dispositions.
Autheux : 17ès
Construction de dimensions modestes mais au plan complexe, le château d'Autheux remontait au 17ès, il comprenait plusieurs bâtiments coiffés de toitures indépendantes. Vendu dans les années 1920, il fut laissé à l'abandon et partiellement détruit. Il en subsiste aujourd'hui l'aile droite et la grille d'entrée encadrée de deux beaux pavillons en assises de pierres et de briques alternées. Laissés à l'abandon et non entretenus depuis de nombreuses années, les bâtiments tombent chaque jour un peu plus en ruines.
Avesnes (Vron) : 19ès
L'ancienne demeure des Wignier fut remplacée dans les dernières années du 19ès par le château actuel de style néogothique. L'amiénois Delforterie qui en conçut les plans redessina également le parc dans le goût paysager.
Baizieux : 19ès
Edifié pour la marquise de Lameth vers 1885 par Delforterie. Les façades s'inspirent de l'architecture des 16 & 17ès.
Beaucourt-en-Santerre : 17ès
En briques et pierres, composé d'un logis encadré de deux pavillons d'où partaient deux ailes de dépendances terminés d'une tourelle. Endommagé en 14/18, il a été restauré et amputé du pavillon gauche et de l'aile qui lui correspondait.
Beaucourt-sur-l'Hallue : 18ès
Becquigny : 18ès
Sobre construction d'un seul niveau couvert à la mansart datée par ancres de 1724. Sa façade nord, à l'origine à pans de bois fut remontée en briques à la fin du 19ès.
Béhen : 19ès
Béhencourt : 19ès
Conserve une longue aile en pierre blanche du 18ès.
Belloy-sur-Somme : "château d'en haut" 18ès
Belle construction en pierre du 18ès qui fut remaniée dans les années 1870 avec l'adjonction des avant-corps aux angles arrondis sur la façade principale. Comprend un pigeonnier inscrit à l'ISMH.
Bettencourt-Saint-Ouen : 18ès
Inhabité depuis les années 1950, ce bel édifice de la seconde moitié du 18ès (date de 1777 inscrite par ancres de fer sur un corps de dépendances) se limite à un rez-de-chaussée carré qui conservait encore au début des années 1990 un haut toit à la mansart. Il n'en reste que les murs.
Bézencourt : 18ès
Agréable construction du premier quart du 18ès. D'un seul niveau couvert d'un toit à la mansart, le château s'apparente à ceux de Fransu, Ligescourt, Gapennes ou encore le Plessiel.
Bichecourt (Hangest-sur-Somme) : 17ès
Sobre édifice en pierre remontant à la fin du 17ès et dont le parc, parsemé de fabriques, fut réaménagé dans les années 1840 dans le goût "pittoresque".
Biencourt : 18ès
Construit dans le premier quart du 18ès dans un style sobre. La façade sur la cour souffre d'"enrichissements" après une restauration menée après 1856 qui vit l'adjonction des deux pavillons bas latéraux. La façade sur le parc conserve son aspect d'origine.
Blangy-Tronville : 17ès
Petite propriété du 17ès précédée par une chapelle de la même époque. Une restauration menée au 19ès a modifié les parties hautes (lucarne centrale et lourde toiture à la mansart).
Bonnance (Port le Grand) : 19ès
Edifié dans la première moitié du 19ès ; transformé une première fois à la fin du 19ès avec l'adjonction d'avant-corps et de tourelles puis à nouveau en 1928 par Henri Jacquelin qui le remodela entièrement dans le goût normand.
Boisrault : 17ès
Bouillancourt-sous-Miannay : 18ès
Petite demeure briques et pierres de 1755, sans caractère particulier. Très restaurée dans les dernières années du 19ès, notamment dans les parties hautes.
Bussy-lès-Daours : 18ès
Petit château en pierre du 18ès prolongé au 19ès d'ailes basses mal proportionnées nuisant à l'harmonie de l'ensemble.
Bussy-lès-Poix : 17 & 18ès
Le château fut commencé en 1693 et achevé dans les premières années du 18ès. Les parties hautes furent assez maladroitement restaurées en 1900, nuisant à l'ensemble.
Cambron : 18ès
Le château fut construit en 1784, c'est une belle demeure de style classique entièrement en pierre. Gravement endommagé en 1940, la restauration qui suivit sacrifia le premier étage, remplacé par une imposant toit à la mansart.
Cerisy-Buleux : 18ès
Construction en briques enduites, flanquées d'ailes en saillie sur ses deux façades. Une chapelle funéraire fut construite dans les années 1840.
La Chapelle sous Poix : 19ès
Construit sur les plans de l'architecte Paul Delforterie en 1885, c'est un bel édifice de style éclectique, modèle réduit du château de Flixecourt signé du même architecte.
Cocquerel : 20ès
Première moitié du 19ès. Le château fut ruiné en 1940 et remplacé par la grande demeure en pierre actuelle. Conserve toutefois un beau corps de dépendances néoclassique.
Courcelles (Aigneville) : 18ès
Agréable "folie" en brique et pierre de la moitié du 18ès qui comporte quelques analogies avec la folie de Dompierre sur Authie.
Courcelles-sous-Thoix : 18ès
Agréable construction du 18ès en pierre, agrandie d'ailes latérales rythmées d'arcades et couverte à la mansart. L'ensemble fut restauré dans les dernières années du 19ès. Conserve un portail d'entrée daté de 1638.
Daours : 18ès
Construit dans les années 1750, le château consiste en un sobre corps de logis en pierre flanqué d'une aile basse couverte d'un toit à la mansart.
Dompierre-sur-Authie : 18ès
Drucat : 20ès
Le château édifié vers 1840 fut détruit en 1944 et remplacé par l'agréable demeure actuelle.
Dury : 17ès
Edifié au 17ès mais très endommagé en 14/18, il fut restauré par Abel Duvette et sa femme qui y abritèrent de nombreuses oeuvres d'art. L'ensemble fut complètement anéanti pendant la seconde guerre mondiale puis relevé dans son style d'origine.
Epagne :
Construit fin 17ès ou début 18ès en briques à panneaux de pierre. Il fut restauré et agrandi dans les années 1880 (loggia sur la cour, pavillons et aile basse sur le parc). De par la déclivité du terrain, la façade sur le parc comporte un niveau supplémentaire.
Epagnette : 18ès
Les abords furent modifiés dans les années 1870 et le château fut agrandi et restauré après la guerre 14/18 (ailes en retour sur la rivière et terrasse).
Ercourt : 19ès
Rare exemple de château de style Empire dans le département. Elevé par Lefuel (qui travailla au Louvre, et à Abbeville construisit l'hôtel Foucques d'Emonville).
Escarbotin (à Friville-Escarbotin) : 16ès
L'ancien château d'Escarbotin, amputé et démoli après la révolution conserve un intéressant corps de logis flanqué d'une tourelle du 16ès et deux belles gargouilles sur le pavillon en retour.
Framerville-Rainecourt : 18ès
De l'imposant château du 17ès, restauré au 18ès et bombardé en 14/18, subsiste un long corps de communs en pierre à l'architecture élégante et remontant au 18ès.
Francières : 17ès
Sobre construction entièrement en pierre construite vers 1620 qui fut remaniée et restaurée aux siècles suivants.
Fresnes-Mazancourt : 20ès
Le château du 18ès, très remanié (presque reconstruit au 19ès) qui comprenait un bel ensemble de boiseries provenant de l'ancien château de Sailly-Saillissel a été détruit en 14/18 et remplacé par une imposante demeure à l'architecture intéressante coiffée d'un immense toit.
Frohen : 18ès
Le château des années 1770 fut presqu'entièrement détruit en 1944 ; seule une partie fut maintenue et restaurée.
Gapennes : 18ès
Petite maison de campagne construite sur le même modèle que Ligescourt, Bézencourt, le Plessiel ou encore Fransu vers le milieu du 18ème siècle. En briques, la pierre vient souligner les angles et encadrer les ouvertures. Le château a été bien restauré après les bombardements de 39/45 qui ont anéanti l'église voisine.
Gézaincourt : 19ès
Reconstruit en 1846, c'est une lourde construction en pierre à trois niveaux d'élévation. Il était accompagné d'une imposante chapelle néogothique qui fut rasée.
Goyencourt : 20ès
L'ancien château, lourdement restauré sous le Second Empire fut endommagé en 1914 et détruit en 1918. Il fut agréablement reconstruit, ainsi que les dépendances, dans les années 1920-1930.
Grivesnes : 17ès, 18ès
Consrtuit au 17ès, agrandi au siècle suivant puis restauré au 19ès, le château fut lourdement endommagé en 14/18. En subsiste le corps de logis principal, un pavillon tronqué et les soubassements des bâtiments disparus qui s'étendaient sur la droite. Importants communs.
Guémicourt : 16ès-17ès
Petit manoir daté de 1633. Remanié aux siècles suivants.
Hangard : 20ès
Le château construit dans la deuxième moitié du 18ès fut entièrement détruit en 1918 et remplacé par l'élégante construction en briques actuelle s'inspirant du 18ès.
Havernas : 19ès
Importante construction en pierre élevée par Delforterie dans les années 1870.
Houdencourt (Fransu) : 18ès
Construction en brique et pierre d'un seul niveau couvert d'un toit à la mansart. Abandonné dans les années 1980 et incendié, il fut acquis dans les années 1990 par le comte de Fransu qui l'a admirablement restauré à l'identique (à l'exception toutefois du gros pavillon, ajouté au 19ès et qui ne fut pas relevé).
Herly : 20ès
Le château du premier quart du 18ès fut ruiné en 14/18 et remplacé entre 1923 et 1925 par la demeure actuelle, édifiée par Paul et André Schroeder.
Hornoy-le-bourg : 18ès
Bel et intéressant édifice carré de plan massé édifié par Huvé dans les années 1780. Si l'architecture extérieure est très sobre, l'intérêt du château réside en son aménagement intérieur où la distribution se fait à partir d'une pièce en rotonde située au centre.
Huchenneville : 18ès
Construit en briques à chaînages de pierre, le château fut restauré et remanié sous le Second Empire (notamment dans ses parties hautes et par l'ajout d'un gros avant-corps sur la cour).
La Faloise :
De l'ancien château relevé au 15ès subiste l'ouvrage d'entrée (remanié) en pierre avec ses deux tourelles profilées en éperon. Il fut agrandi d'un corps de logis en briques et pierres au 19ès à l'architecture intéressante.
Laboissière-en-Santerre : 16ès
Modeste mais intéressante construction remontant au 16ès. Remaniée aux siècles suivants, agrandie de pavillons latéraux au 19ès et restaurée après 14/18.
Lamotte-Brebière : 18ès
Petite "folie" typique du 18ès par Rousseau (Saint-Gratien, théâtre d'Amiens...).
Lanchères : 18ès
Ligescourt : 18ès
Construit dans les années 1760. Bombardé en 39/45, il fut reconstruit à l'identique en 1947, à l'exception de l'aile droite qui avait subsisté.
Lignières-en-Vimeu : 20ès
reconstruit après la seconde guerre mondiale sur le même plan mais selon une architecture plus sobre et moins lourde.
Louvencourt : 18ès
Construit dans la deuxième moitié du 18ès, c'est une construction assez modeste en pierre sans caractère particulier accostée d'ailes basses.
Luzières (Conty) : 18 ou 19ès
Agréable petite construction de style néoclassique édifiée dans les dernières années du 18ès ou le premier quart du 19ès. Elle est accompagnée de diverses dépendances : une petite chapelle en pierre à côté de la grille d'entrée qui mène à un bâtiment comportant un pont-levis permettant d'accéder au château et au parc.
Maison-Ponthieu : 16 & 17ès
Entièrement en pierre, c'est une intéressante construction du 16ès qui fut remaniée aux 17 et 18ès.
Maizicourt : 18ès
Edifié au milieu du 18ème siècle, le château a été agréablement restauré dans les années 1990 et agrémenté de beaux jardins qu'on peut visiter.
Martainneville : 17 & 18ès
Extrème fin du 17ès, considérablement agrandi au siècle suivant entre 1740 et 1757. Il fut malheureusement amputé de ses pavillons latéraux vers 1860 et encore diminué dans les années 1930 (les tours de la façade sur le parc furent rasées au niveau du rez-de-chaussée). Apparemment peu entretenu, le château garde un certain charme et conserve surtout sur le côté de très beaux corps de dépendance (notamment les écuries du 18ès et un beau pigeonnier).
Molliens-au-Bois : 19ès
A l'extrémité d'une longue avenue, simple édifice reconstruit au 19ès par les Poujol de Molliens (et reconstruit après 14/18 dans un style identique). Dans le parc subsiste la petite chapelle du 18ès de l'édifice précédent.
Montigny-sur-l'Hallue : 19ès
Lourde construction de style Louis XIII, dessinée par Antoine dans les années 1860. Les frères Duthoit furent chargés des sculptures.
Monthières : 18ès
Composé d'un corps de logis rectangulaire couvert à la mansart mais dont les façades ont malheureusement été enduites, le château est flanqué d'un gros pavillon carré.
Montières (Amiens) : 19ès
Construit dans la deuxième moitié du 19ès pour le baron Fouache d'Halloy d'Hocquincourt. Cédé à des religieuses après 39/45, il fut longtemps laissé à l'abandon et incendié en 1989. Aujourd'hui restauré, il abrite une maison de retraite.
Montonvillers : 19ès
L'ancien manoir fut détruit en 1855 et remplacé par le château actuel de style néoclassique. En briques et pierres, il comporte un plan massé comme à Hornoy et présente un beau fronton sur le parc par Duthoit. Le paysagiste François Duvillers redessina le parc dans le goût anglais en 1860.
Moyencourt-lès-Poix : 17ès
Intéressante construction datée de 1612. En briques, la pierre développe un décor de chaînes en harpes, en bezace et de cordons horizontaux aux carreaux appareillés en pointe de diamant. Les façades du corps de logis principal sont flanquées de pavillons carrés dont l'un fut reconstruit au 18ème siècle après un incendie. A côté de la grille d'entrée, subsiste une ancienne porterie probablement du 15ème siècle.
Nampont-Saint-Martin : 15 & 16ès
Cette ancienne place forte fut plusieurs fois endommagée puis restaurée au cours des guerres jusqu'en 1944, elle conserve néanmoins certains de ses dispositifs défensifs.
Neuilly-l'Hôpital : 19ès
Le château fut reconstruit en 1862 au milieu d'un beau parc paysager.
Nibas (Rembehem): 17ès
Intéressant petit manoir du 17ès remanié au siècle suivant. Conserve de beaux corps de dépendances.
Nolette : 17ès
Construit au 17ès, remanié au 19ès, le château a été bien restauré et abrite aujourd'hui un hôtel.
Occoches : 18ès
Sobre construction en pierre couverte à la mansart prolongé d'ailes basses et accompagnée de nombreuses dépendances .
Pinchefalise : 17ès
Sans caractère particulier, le corps de logis est daté par ancres de fer de 1610. Plusieurs fois remanié, il fut agrandi d'un gros pavillon en briques en 1840.
Le Plessier-Rozainvillers : 18ès
Sobre construction accostée d'un incongru pavillon sur la gauche ajouté dans les années 1920 et d'un beau corps de communs en retour en briques à chaînages de pierre. Une belle grille de style Louis XV ouvre sur l'ensemble.
Le Quesnel : 18ès
Belle construction entièrement en pierre de 1753. Il fut agrandi dans les années 1850 d'une aile latérale et surélevé d'un second étage. Il fut restauré après ses occupations lors des deux conflits mondiaux.
Rogeant (Toeuffles) : 20ès
L'architecte Emile Ricquier (auteur à Amiens notamment du Cirque, de l'horloge Dewailly, de l'hôtel des postes...) édifia en lieu et place d'un vieux manoir du 18ès, une demeure à l'architecture originale dans les premières années du 20ès.
Rumigny : 18ès
Sobre édifice en pierre de la première moitié du 18ès. Endommagé en 39/45, la restauration qui suivit dans les années 1950 sacrifia la grande aile en briques ajoutées au milieu du 19ès par le dernier marquis de Rumigny.
Saint-Quentin-La Motte-Croix-au-Bailli : 19ès
Le château en lui-même fut détruit après la révolution. Subsiste un beau corps de bâtiment en craie réhaussé de briques accompagné de quatre dépendances disposées autour d'une cour hexagonale.
Saint-Sauveur : 18ès
Ailes latérales ajoutées dans la première moitié du 19ès.
Saucourt : 18ès
Première moitié du 18ès, c'est une sobre construction entièrement en briques d'un seul niveau couvert d'un toit à la mansart.
Saveuse : 18ès
Thézy-Glimont : 18ès
Sobre et élégant édifice en pierre construit entre 1756 et 1759. Une petite chapelle néogothique fut construite au 19ès à côté de la grille d'entrée.
Thoix : 16ès
Construit dans les années 1580 par Timoléon Gouffier, le château comprend un vaste corps de logis couvert d'un comble à forte pente et encadré d'étroits pavillons carrés. Au sortir de la révolution où il fut déclaré bien national, le château connut des fortunes diverses et de nombreux changements de propriétaires. Altéré par des modifications et des restaurations au 19ès, le château reste néanmoins un beau et rare morceau d'architecture du 16ès dans la Somme.
Tilloy-Floriville : 17ès
Construit dans les années 1660, c'est une construction en pierre rythmée de cordons de briques. Agrandi d'une aile basse en 1907.
Tilloy-lès-Conty : 17ès
Ancienne propriété des familles d'Hallwyn et de Croÿ-Havré, petit château du milieu du 17ès comprenant une petite chapelle. Un corps de dépendances est daté de 1578 et le pigeonnier semble lui aussi remonter au 16ès.
Le Titre : 18ès
Entièrement en pierre. Au milieu du 19ès, on agrandit les deux ailes basses qui flanquent le corps de logis à trois niveaux d'élévation.
Toeuffles : 18ès
Petite construction entièrement en briques d'un seul niveau, couvert à la mansart et dont l'intérieur conserve encore des éléments de son décor d'origine.
La Triquerie (Neuilly l'Hôpital) : 18ès
Le Valvion : 19ès
Détruit au cours de la seconde guerre mondiale, le château fut reconstruit dans une architecture s'inspirant de l'ancienne. Le domaine vaut surtout pour ses imposantes et curieuses dépendances construites en arc de cercle.
Ville-le-Marclet : 20ès
Le château de 1755, restauré dans le goût néoclassique au début du 19ès fut acheté par M. Saint et le fit remplacer en 1920 par une imposante demeure dans le goût de l'époque.
Villers-sur-Authie : 17ès
Construit dans la deuxième moitié du 17ès (1679), il fut malheureusement très restauré dans les années 1870-1880 lui faisant perdre toute authenticité et tout caractère.
Wacourt (Machiel) : 20ès
Victime des bombardements anglais en 1943-1944, le petit château du 18ès fut remplacé par le vicomte de France par une demeure aux lignes modernes.
Wargnies : 18ès
Le sobre corps de logis en pierre fut construit en 1767. Il fut remanié après 1863 et agrandi de deux ailes en retour sur la cour.
Warsy : 18ès
Bel édifice en pierre de la première moitié du 18ès accompagné d'écuries datées de 1785. Endommagé en 14/18, il fut restauré dans ses lignes d'origine.
Warvillers : 17ès
Daté par ancres de 1696, il fut remanié dans la deuxième moitié du 19ès (lucarnes et frontons monumentaux sur les ailes latérales). Il fut restauré après 14/18.
Yvrench : 20ès
Le château du 18ès fut occupé en 39/45 puis abandonné et pillé. Il fut finalement détruit à la fin des années 1960 et remplacé par la demeure actuelle. A l'entrée subsistent deux petits corps de dépendances du 18ès.
Yzengremer : 17ès
Cet intéressant édifice comporte un corps de bâtiment consistant en une aile en retour et flanqué de trois pavillons. A subi une importante restauration à la fin du 19ès.
Yzeux : 19ès